Fugue : respirer malgré la camisole chimique
Je marche dans la nuit et derrière moi, les murs blancs s’éloignent. Les blouses, elles me regardent partir, bouche bée, incapables de comprendre que je ne suis pas un dossier. Les pilules tintent dans ma poche, petites menottes chimiques censées me calmer. “T’essaies de me faire taire avec des bouts de plastique et de poudre ? Raté.”